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Microsoft, en partenariat avec LinkedIn, a récemment publié une étude concernant le travail hybride. Cette dernière a été menée auprès de 180 000 collaborateurs de l’entreprise, répartis dans plus de 100 pays. D’après ce rapport, cette nouvelle organisation du travail est destinée à devenir la nouvelle norme.
La pandémie mondiale a profondément transformé notre façon de travailler et d’appréhender notre métier. Le télétravail a connu une réelle expansion durant cette période et devrait continuer à se développer.
Certaines entreprises ont donc développé un mode de travail hybride. Cette forme d’organisation consiste à diviser son temps de travail entre le présentiel et le distanciel.
Dans cette optique, Microsoft se veut précurseur dans ce domaine, en le généralisant et en le facilitant. Ce modèle est, selon elle, l’avenir.
Une première tendance ressort de l’étude : ce que Microsoft nomme le « Paradoxe hybride ». Cela désigne le paradoxe selon lequel les individus souhaitent avoir la possibilité de travailler de n’importe où, mais ont aussi besoin de plus de contacts physiques.
Il y a également une autre grande tendance. LinkedIn a nommé cela le « Grand Remaniement ». Cela correspond à un bouleversement et une réorganisation du monde du travail. En effet, les organisations doivent repenser leur culture d’entreprise, leurs valeurs et leurs modèles, tandis que les collaborateurs s’interrogent sur leur métier et leur façon de travailler.
L’une des conséquences du travail hybride est aussi l’apparition d’une nouvelle relation employé – employeur. La firme va jusqu’à parler de « nouveau contrat social ». Pour elle, les managers joueront un rôle particulier et important dans ce nouveau monde du travail. Cela aura en partie un impact sur le bien-être des salariés.
Chaque salarié a une façon différente de travailler. Pour la firme, s’adapter à ces différents styles est la clé pour que les employés soient plus productifs. D’après l’étude, bien-être égale productivité.
De plus, les employés remettent en question leur activité et ont aujourd’hui des attentes différentes. Par exemple, chez les jeunes salariés français, 27% souhaiteraient un modèle de travail hybride avec davantage de temps à domicile qu’au bureau.
Cependant, le travail hybride n’est pas possible dans toutes les organisations. Par exemple, certaines n’y sont pas favorables pour des raisons d’organisations tandis que d’autres n’ont pas les ressources nécessaires pour équiper leurs collaborateurs.
Enfin, cette étude n’est fondée que sur des enquêtes internes et ne peut donc pas représenter une généralité.
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